Ménilmontant, Paris XX

Le voisinage et la déclivité nous ont dicté l’épannelage de façade. Il nous paraissait important de gérer cette transition entre les deux gabarits totalement différents.

Le découpage de la façade en trois entités participe de la même logique mais cette fois dans le linéaire de façade qui mime ses voisins du plus long au plus fin.

L’entrée du bâtiment utilise la rhétorique du porche parisien mais en offrant une transparence dans l’axe du passage qui se faufile entre les deux bâtiments réhabilités ce qui laisse voir depuis la rue la plus grande profondeur du terrain et son dénivelé qui le caractérise.

Le traitement de la façade est une réinterprétation du vocabulaire des immeubles alentours, les volets qui animent la façade et le revêtement simple et lisse comme le montre cette façade du boulevard de Ménilmontant.